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Synopsis

April, une petite anglaise de cinq ans, voit sa vie chamboulée lorsqu'elle déménage à Paris juste avant le premier confinement. Isolée et malheureuse, elle espère désespérément retourner à Londres.

 

Mais lorsque les restrictions sont levées, son père décide de l'emmener à Labastide d'Armagnac, un village médiéval landais, où l'arrière-grand-père d’April leur a légué sa maison.

 

Initialement peu enthousiaste à l'idée de vivre dans ce village désert, April finit par s'y attacher. Elle explore le cimetière, convaincue que les personnes enterrées ne sont qu'endormies. Sur la tombe de son arrière-grand-père, elle dépose des fleurs, lui parle et croit fermement qu'il viendra la retrouver.

En attendant son retour, April rencontre ses amis. Grâce à eux, elle s'ouvrira au monde, découvrira son moi et, à son tour, transformera profondément les adultes qui l’entourent.

April en France affiche du film

Presse

Nous avons vu pas mal de films tenter de pénétrer le monde des enfants, mais très peu ont réussi comme "April en France". La tendresse et la ténacité (...) avec lesquelles Boaretto sonde cet univers presque surréaliste (...), aux possibilités infinies, sont fascinantes. Le montage dynamique (...) ainsi que la poésie et l'intensité émotionnelle de nombreuses scènes sont également primordiaux. Un merveilleux documentaire. 

Mihai Fulger (FIPRESCI), Adevarul (Roumanie)

Le plus grand désir [d’April] devient celui de ramener [son arrière-grand-père] à la vie, pour pouvoir le connaître. Si cela s'était réellement produit à l'écran, je ne pense pas que les spectateurs auraient été très surpris. En effet, l'univers représenté par Boaretto, adoptant le point de vue candide de son enfant, est surréaliste (ce n'est pas un hasard si l'arrière-grand-père du cinéaste - et l'auteur de la citation finale - est le poète Paul Éluard), et les possibilités y sont illimitées. (…) April en France est un film réjouissant et stimulant, réalisé avec beaucoup de tendresse.

Observator cultural (Roumanie)

Certains documentaires récents sont réalisés avec une telle habileté, parfois même une telle maîtrise, qu'ils ressemblent à des films d'art (...). C'est le cas d’April en France, une invitation à découvrir le monde à travers les yeux d'un enfant. 

Adrian Țion, LiterNet (Roumanie)

Une exploration subtile de la relation entre l'humanité et la nature. 

G. Archontis, Exostis (Grèce)

 

L'un des meilleurs films documentaires et l’un des plus réconfortants de l'Abricot d'Or cette année (…) Des thèmes complexes et en apparence difficiles à digérer qui, grâce aux pensées spirituelles et curieuses d'April et à la caméra de Boaretto, gardant ses distances et avec un minimum d'interférences, sont servis dans le style presque vintage du bon cinéma français d'antan. C'est comme d’inviter le public dans la campagne française pour parler de ses ancêtres et de la vie.

Diana Martirosyan (FIPRESCI), Evnmag (Arménie)

Boaretto aussi montre qu'il maîtrise parfaitement son film. (…)  Le paysage sonore, discrètement conçu, est complété par des musiques originales de Sacha Lounis, qui coïncident toujours parfaitement avec l'humeur voulue à tel ou tel moment. April en France fonctionne ainsi très bien et à un niveau personnel, pour le réalisateur et son sujet, et sur un plan psychologique voire philosophique plus englobant, par la manière dont il rend le réel et par le tableau émotionnel qu'il brosse de ce que signifie grandir et faire face au monde.

Marko Stojiljković (Cineuropa) [lien]

Le public est profondément touché par les valeurs véhiculées, la simplicité, l'innocence, le naturel, l'ouverture, le don d'observation, l'insouciance et la profondeur (...) La vision enfantine de la vie, la mort, la vieillesse, les relations simples, la façon de passer d'un sujet à un autre, de mettre de la gravité ou de la légèreté, sont traités avec justesse et tendresse.

La Dépêche

Un très intéressant point de vue sur la Gascogne.

Charles Latterade (Sud-Ouest), [lien] 

Un film sur les richesses de l'enfance, avec, en fond, une lettre d'amour au Sud-Ouest.

La Dépêche, [lien] 

Photos

Note d'intention du réalisateur

Tourné comme un documentaire, le film est devenu un conte philosophique. Tout au long du chemin qui conduit April, non sans humour, à la découverte du monde et à ses premières difficultés, nous reconnaissons certains des grands thèmes actuels comme la préserva/on de la nature. Ainsi April redonne vie à son jardin, en l'arrosant bien sûr, mais aussi en caressant les plantes, en leur parlant et en les nommant.

Le film met par ailleurs fortement en lumière l'importance de la transmission intergénérationnelle, qui ne s’effectue pas dans un sens unique, mais à double sens: April partage ses croyances « magiques » avec ses nouveaux amis et ceux-ci entrent volontiers dans son monde d'enfant, sans jamais la contredire.

C’est le double mouvement qui caractérise la construction humaine qui se déroule ainsi de fait sous nos yeux: devoir, enfant, quitter avec hésitation son « royaume magique » pour affronter la vraie vie et plus tard chercher à retrouver le réconfort du « beau monde coloré » d'une enfance perdue depuis longtemps.

Enfin, alors que pour la première fois théâtres, cinémas, musées et opéras ont fermé leurs portes en même temps le film donne à voir, dans la découverte que fait April de la musique, de la photographie et de la littérature, que la culture et son partage dans le cadre d'une expérience commune est une contribution fondamentale à notre vie personnelle, notre développement et notre bonheur.

L’ouverture aux autres et le partage sont au cœur du parcours d’April et le film nous rappelle que petits et grands ne peuvent s’épanouir « en ligne » et que l’avenir de l’humanité ne peut pas se jouer dans un Métavers généré par un ordinateur…

Bien que conçu à un époque d'angoisse pour l'avenir de nos enfants (la pandémie, la montée des populismes, le changement climatique etc.), le film, grâce à l'énergie et à l'acharnement de cette petite fille que rien n’arrête, est finalement chargé d'optimisme.

Comme toutes les générations, celle d’April devra affronter de sérieux obstacles, mais si elle fait preuve d’unité, de persévérance et croit en sa force, elle réussira. C’est le sens de la scène symbolique du déjeuner de fin d'été qu’elle organise dans son jardin avec ses amis. Enfants et adultes se rassemblent, nous ne pouvons entendre ce qu’ils se disent mais à ce moment là rien de plus n’a besoin d’être dit.

Sélections en festivals

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Festival international de Thessaloniki
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Festival international de Docutah
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Dossier de presse

Prochaines projections

Février:

- Sedona, Arizona (samedi 22 février, 1pm)

- Sedona, Arizona (lundi 24 février, 7.10pm)

- Cinéma Astarac, Mirande (avant-premières, mardi 25 février à 14.30 et 20.00)

Mars:

- Cinéma Armagnac, Barbotan-les-Thermes

(avant-première - le vendredi 28 mars, heure à confirmer)

April:

- Cinéma Armagnac, Barbotan-les-Thermes

(avant-première - le vendredi 25 avril, heure à confirmer)

Mai:

- Bucarest, 8-11 mai

Contact

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